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Il ne faut pas se méprendre, « What goes around » n’est pas une étude de sociologie sur la ville de San Francisco encore que le film ait quelques envies de ce point de vue là en nous montrant la variété des personnes (surtout des mecs... gay) qui vivent dans cette si belle ville américaine. Cette production récente de Falcon studio, réalisée par Toni Di Marco, cherche à nous montrer qu’elles peuvent être les relations gay à Sa Francisco. Ceux qui ont lu les fameuses chroniques d’Armistead Maupin
peuvent bien évidemment avoir une idée de quoi il retourne... mais cette fois, il faut convenir, que c’est nettement plus hot que les plans cul de Michael Tolliver. La thèse de Di Marco... est que les relations homos à San Francisco sont aussi diverses que la population (jusque là... on ne peut qu’approuver) et que le sexe est, dans cette ville, facile à trouver (pas faux non plus... mais généralement le cas dans les grandes villes). Enfin, il développe l’idée (déjà en vigueur chez Labiche, Courteline et Feydeau) que même les couples « monogames » (comprendre fi- dèles) sont constamment tentés de nourrir leurs appétits sexuels en dehors de leurs relations stables... Toute cela mis bout à bout donne une chaîne de rencontres sexuel- les incendiaires... C’est cette chaîne là qu’illustre « What goes on ». Le premier maillon de cette chaîne du vice nous montre Topher DiMaggio et Dayton O’Connor. Les deux jeunes mecs vivent une expérience extraordinaire. Il faut dire que le personnage joué par Dayton O’Connor renaît d’une « petite mort » puisque le sommeil profond dans lequel il avait sombre s’était transformé en un délire sexuel... jouissif.Il faut dire quil n’était pas alors avec son ami stable (Topher DiMaggio) mais avec Erik Rhodes qui lui a mis sévère .revenu à la vie comme à ses esprits, Dayton revient au bercail où Topher entretient, dans la cuisine, une carrière de Desperate house wife. Dayton devra passer à la casserole puisque c’est Topher qui tient le manche.De son côtéTopher,n’est pas non plus un prix de vertu comme on pourra en juger avec Parker London. Parker London lui connaît très bien un autre mec... Bon, vous l’aurez compris chaque maillon ets noué au suivant, lui-même noué à celui d’après... c’est ainsi que se forme unechaînepastrèsvertueuse,maisdiablementexcitante. Au final,on retrouvera la scène ui est censé servir de point de départ au film... La boucle est bouclée... les mecs ont bien baisé et on ne peut qu’être ravis !
TM |
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