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Un ! Et voilà, il n’en reste plus qu’un… un seul jour avant la fin du monde… Pas d’angoisses disproportionnées, pas d’inquiétudes majeures… Wank ne se lance pas dans un trip millénariste, genre la fin du monde est pour demain, mais cette idée farfelue est celle qu’a retenue Michael Lucas dans une de ses dernières productions. Le célèbre réalisateur américain a essayé d’imaginer ce qui pouvait se passer dans un groupe de gays (notoirement bien foutus) qui savent qu’il ne leur reste plus qu’une journée… à eux comme aux autres. Alors que feriez-vous si c’était la der des ders et s’il ne vous restait que quelques heures à vivre et si vous étiez, de surcroît, un gay très légèrement survolté côté braguette ? Roulement de tambour… quelques minutes de réflexion, un petit travail de prospective… Non, vraiment, vous ne voyez pas ? Vous n’avez pas la plus petite idée ? Bon, on vous souffle la réponse : ils vont baiser. La démonstration se fera en cinq scènes dont deux avec trois acteurs. L’histoire démarre avec l’arrivée par bateau sur une île de la Méditerranée de Jonathan Agassi (très bien comme toujours). Surprise, les rues sont désertes et l’île semble curieusement inhabitée. Sur ce, arrivent deux très beaux mecs à moto (Will Helm et l’acteur français Kriss Aston). Ils interpellent Jonathan, le conduisent dans leur demeure et, là, lui expliquent que le fin du monde a été annoncée pour dans cinq jours… largement le temps de s’envoyer en l’air… Pour cette fin du monde, les autres habitants ont choisi de quitter l’île pour aller voir proches et familles.. tandis que les beaux tatoués (Will et Kriss) ont décidé de baiser sur l’île déserte… Voilà, le problème… c’est que l’histoire se corse et s’avère vite bien plus complexe que le démarrage ne le laisse supposer… la mort rode et elle a les traits sensuels de Damien Crosse. Le film est très bien scénarisé et propose un casting de très, très haute volée… A ne pas rater bien évidemment.
JT |
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