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Unité de lieu, de temps et d’action pour cette nouveauté de Jalif Studio. Elle a, en effet, été entièrement tournée dans une salle de sports de Barcelone et met en scène (ou plutôt disons aux pièces) huit acteurs (dont certaines vedettes du studio barcelonais) lors de leurs séances de sport (boxe, musculation, etc.). Très logiquement dans ce type de film où il est question de faire fantasmer sur les corps en sueur, les baskets neuves et les minis shorts moulants, il n’y a pas que les pectoraux qui sont travaillés, ni les cuisses qui sont manipulées. Comme on le dit habituellement, dans ces séances-là, on en profite pour se muscler tous les muscles, TOUS, sans exception. Rappelons au passage que la queue (c’est bien de cela dont nous parlons... entre les lignes) n’est pas un muscle, mais un corps caverneux que l’afflux de sang fait gonfler et rend dur comme un musclé bandé... Que se passe-t-il donc dans «Sweaty cocks» de Jalif Studio ? Eh bien, il y a des torses en sueur (ceux très beaux de Kid Barraca, Manuel Roko), des bites qui ne demandent qu’à être sucées par des experts (Aitor Crash, Billy Baval, etc.).
Dans quasiment tous les plans proposés (hormis le premier consacré à la boxe), il sera question d’un miroir qui entretient le narcissisme des duos (genre :«dis-moi qui a la plus grosses»),mais surtout renforce la toute puissance de celui qui enfile son partenaire.
L’idée, là, est bien de nous montrer à quel point le mâle dominant domine : il voit sa toute puissance invasive se dupliquer dans la glace et voit la mine réjouie, chahutée de son domi- né... A ce petit jeu-là, Jalif fait très fort. Et ce d’autant qu’il a orchestré ses duos avec cette idée fixe en tête...
Les mélanges sont donc le plus souvent déto- nants. Vous l’aurez compris, c’est à voir pour entretenir le mythe des étalons espagnols et des velus ibériques.
TM |
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