Qu’y a t'il comme point commun au culturisme, au basket-ball et à la lutte ? Eh bien cela commence par de l’activité physique, l’esprit de compétition, de la proximité corporelle, une certaine ambivalence, des érections, des bouches qui s’ouvrent et cela finit par... de l’activité physique. Un film qui se regarde avec plaisir...
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Qu’y a-t-il comme point commun au culturisme, au basketball et à la lutte ? Eh bien (si on en juge par la thèse avancée par Fresh SX Studio) : cela commence par de l’activité physique, l’esprit de compétition, de la proximité corporelle, une certaine ambivalence, des érections, des bouches qui s’ouvrent et cela finit par de l’activité physique. Bref, la boucle est bouclée : chaque bouche trouve sa queue et chaque queue son trou. Il n’est pas utile, ici, d’être plus subtil dans le descriptif car le film est, lui-même, très direct dans sa façon de montrer les plans cul qu’il propose. Il s’agit à chaque fois de duos qui démarrent de façon classique (pour un film qui ambitionne de traiter du sport) par des échauffements, des genoux qu’on plie, des bras qu’on tend… bref, de l’activité physique. On lutte in peu, beaucoup, passionnément et puis le miracle se produit : les frottements, l’émulation du rapport de force causent une érection (ça commence toujours comme ça avec la lutte…). Evidemment, cette érection ne reste pas dans le vide… vous connaissez
la suite… c’est un peu pareil avec le culturisme. Il y a un jeune mec qui pousse des aaahhhhh et des aaaarrggggghghh en soulevant des truc hyper lourds. Pendant qu’il souffle comme un boeuf… son copain qui surveille l’effort, mate le paquet de l’atlas débutant avec une insistance coupable. Celui qui soulève voit le ménage et généralement… il se raidit de plaisir…. Et voilà c’est parti : qui va s’occuper de la nouvelle barre de la salle de sport ? Pour le basket, c’est je te passe la balle, tu me passe la balle… limite cours d’école. Puis entre deux passes, on voit bien que le doute s’installe… Les balls ne seraient-elles pas plus avantageuses et agréables à tripoter que la baballe ? Là encore, pas de suspens… les mains savent où fouiller, que trouver et quoi en faire. Ce film se voit avec plaisir, mais reste dans les classiques du genre.
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