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On fume des gros cigares. On ouvre grand son cul. On a une grosse queue d’enfer que met en valeur un très beau chaps de cuir noir. On a des bras muscles et des grosses mains qui savent ouvrir un cul. On a des gants rouges de latex qui vont permettre de fister dans les grandes profondeurs l’intimité d’un des beaux plus beaux culs de Barcelone. Et pour le reste, il s’agit de Luck Ass qui porte assez bien son nom.
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On fume des gros cigares (ça, c’est pour Aitor Cash). On ouvre grand son cul (ça, c’est pour le même). On a une grosse queue d’enfer que met en valeur un très beau chaps de cuir noir (ça, c’est pour Billy Baval). On a des bras muscles et des grosses mains qui savent ouvrir un cul (ça, c’est pour Tony Duque). On a des gants rouges de latex qui vont permettre de fister dans les grandes profondeurs l’intimité d’un des beaux plus beaux culs de Barcelone (ça c’est toujours Billy Baval). Et pour l’autre, il s’agit de Luck Ass qui porte assez bien son nom... il faut bien l’admettre. En fait, on le découvre au début du film, le héros fil rouge de ce film est l’acteur Jota Salaz. Celui-ci travaille durement à la bourse de Barcelone où il est trader ou un truc comme ça. Comme c’est un boulot où la pression est très forte, il a besoin assez régulièrement de lâcher du lest. Il décide donc de lâcher ses fringues et de lâcher prise. Il va donc nous montrer qu’il sait aussi travailler des bourses à Barcelone. Parallèle- ment, le film nous fait découvrir une ville en été, cette période si belle durant laquelle les mecs dans les grandes villes montrent un peu leurs charmes en mettant moins de vêtements et en montrant plus de peau nue.
On devient tout simplement excité quand on se balade à travers les rues de Barcelone ce temps- là. C’est exactement ce que nous montre Jalif qui poursuit donc son évocation barcelonaise. Toutes proportions gardées, le réalisateur espagnol est un peu l’équivalent dans le X gay de Mendoza en littérature, ce fin explorateur de Barcelone. Une fois de plus et après l’excellent «Toilet slaves», Jalif va nous faire appréciez la ville de Barcelone, ses mecs les plus chauds, ses plans cul les plus salaces. Une façon de renforcer la ville espagnole comme des- tination à la mode pour le tourisme classique mais aussi pour le sexe. Sept étalons qui baisent non-stop toute la nuit dans tous les coins, c’est trop bon et on en redemande encore !
TM |
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