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C’est à une découverte assez surprenante que nous convient Steve Cruz et Bruno Bond, une balade sexuelle, tonique et décoincée sur les routes américaines. Ce n’est pas un hasard si leurs deux films s’appellent "Open road" ("Route ouverte"). Les réalisateurs ont choisi de nous montrer les Etats-Unis sous un jour nouveau, sexy et de nous prouver qu’il est possible dans cette terre à la fois puritaine et très libre de faire des rencontres sexuelles aussi incroyables que libres. Que ce soit le long d’un chemin ou aux abords d’une autoroute, tout semble être terrain de jeux, tout semble possible. Prenons un exemple dans le volume 2 du film. Mike Dozer drague sur les routes dans son van. Il est la "chasse" d’un style de mecs dont Boomer Banks semble être le prototype. IL fera donc connaissance et se pliera en quatre pour que leur plan cul soit le mieux possible. De son côté, Christian Wilde est frustré jusqu’à ce qu’il se décide à lui aussi partir à la recherche d’un plan cul… histoire de faire baisser la pression en se tapant un bon "morceau de viande hot". C’est un peu comme ça que Christian semble voir les choses. Cela tombe bien, il va trouver un mec qui est bien décidé à jouer ce rôle-là. Christian va donc se taper Jimmy Fanz (très joli dans le genre jeune premier prêt à tout).. ce qui va bien l’aider à évacuer sa frustration. De son côté, Tommy Defendi fait une petite halte dans des toilettes publiques. Là, on retrouve Mike Dozer en plombier qui se touche beaucoup la braguette. Mike est super content d’offrir son joli cul au jouet massif et pénétrant de Tommy… auquel il ne faut pas trop en promettre. Voilà, ce qui se passe sur cette "Open road", une route décidément bien ouverte à tous les plaisirs. La première partie est construite sur le même principe et met en scène au moins un des mêmes acteurs (Boomer Banks), les autres rôles sont impeccablement campés par des acteurs virils comme Marcus Isaacs (récemment vu en odieux gardien de prison fisteur dans "Long arm of the law") ou Adam Ramzi et de très bons acteurs passifs comme James Ryder ou Aleks Buldocek. Il ne faut pas hésiter un seul instant à emprunter cette belle et sexy Open road". |
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