Les flics qui ont en charge dans ce film cette unité spéciale de la prison de San Francisco ont développé une théorie toute personnelle sur l’expression : “Etre le bras armé de la loi“. En effet, ces flics ont au moins trois points communs : ils sont prétentieux et très soucieux des pouvoirs que la loi leur confère ; ils n’ont guère de limites individuelles et sont fâchés avec la déontologie ; Ce sont de sacrés bêtes de sexe qui ne pensent qu’à baiser et qu’à baiser gay. Voilà le tableau (côté personnel pénitentiaire) brossé, dans cet univers carcéral, ce sont eux qui officient, qui accueillent, orientent, surveillent, maitrisent les détenus que l’administration place sous leur garde. On les voit donc tout au long de ces deux films assurer leur autorité sur des prisonniers (tous très beaux et très chauds) vêtus de combinaisons oranges, les déshabiller, les humilier et leur mettre plein de trucs dans le cul. Désolé de le dire comme cela, mais c’est pourtant bien ce qui se passe. Eh oui, nous sommes bien dans la collection Club Inferno et vous devez sans doute le savoir et a un tropisme pour le fits et autres techniques d’intromission. Du côté des officiers de police qui mériteraient largement d’être traduits devant la commission de discipline, on trouve des acteurs comme Dolan Wolf ou Jordano Santoro. Ils sont sans merci pour faire respecter la discipline, leur discipline. Du côté des prisonniers qui veulent rentrer dans le rang on découvre des acteurs comme Brandon Morre, Brian Bonds, Preston Johnson, Max Cameron et le solide quadra qu’est Drew Sebastian. Sans entrer dans le détail de chaque scène (on préfère que vous les découvrir vous-même), on peut citer la première scène du volume 1 de ce film. Elle met en scène Brandon Moore (le détenu). L’officier Dolan Wolf vient comme chaque matin et sort sa queue, il la pace entre les barreaux de la cellule et exige du prisonnier qu’il la suce longuement avec application et servilité. Malgré ses protestations et le soin manifeste de Brandon à s’exécuter, l’officier n’est pas content (c’est tous les jours pareil) et c’est parti pour punition de se lancer dans un travail du cul avec matraque et autre engin. ET ce sera la même chose le lendemain?. De son côté, Jordan Santoro qu’on reconnaît à sa tête rasée et à ses tatouages bariolés va se lancer dans un fits sur Brian Bond… Bon, de temps en temps, les prisonniers baisent entre eux… car les gardiens ne leur en ont pas trop fait voir. Dans le second volume, Christian Owen ne reprend pas les mêmes acteurs, mais poursuit son exploration sexuelle et dépravée du monde pénitentiaire. Personne ne sera en sécurité dans les cellules. Le casting de ce volume donne la part belle à des acteurs comme Marcus Isaacs et surtout le très beau rouquin qu’est Seamus O’Reilly et qui promet. C’est à voir bien évidemment que vous soyez ou pas amateurs de fist. |