Berlin est (sans conteste) la capitale européenne du sexe. C’est ce que1 pensent pas mal de gays. C’est aussi la thèse que défend cette récente production de Cazzo qui s’est fixée pour objectif de nous prouver que, là-bas, les gays sont désinhibés… complètement et qu’ils en sont fiers. Pour cela, le réalisateur Jörg Andreas a d’abord choisi de nous montrer les ébats de Dominik Belko et Lucio Saints dans un garage underground. Dominik est un bon petit soldat qui sait lécher où on lui dit- et qui adore manifestement le cul très beefy de Lucio. Il s’ensuit une intromission très gorge profonde et cul endurant qui donne manifestement plaisir à l’un comme à l’autre.
Dans le plan suivant, c’est Felix Barca (très sexy et très docile) qui se livre aux solides coups de butoir de Kennedy Carter, le très bel acteur dont le torse est si joliment décoré d’oiseaux noirs et rouges. Cette scène là est censée se dérouler dans le métro, façon de nous montrer que rien ne vaut les transports pour accéder à d’autres transports ! Chacun des deux acteurs baisera l’autre car tous deux sont parfaitement réversibles…
Kennedy, on le retrouvera un peu plus tard, nu dans une cellule, collier de chien au cou, car Felix a décidé de l’abandonner aux coups impérieux de Jordan et William. Une fois de plus, l’acteur s’en sort avec les éloges.
Le reste du film nous propose d’autres plans cul avec les belles prestations de Sebastian, catégorie petit cochon survolté qui joue avec un énorme dildo.. Autre plan cul avec Paulus, la gay sex bomb de Cazzo, qui succombe à la baise brutale et virile de Lars tout de cuir vêtu. Keller est bien le film porno qui veut nous prouver que le Berlin underground n’est pas mort et que la recette s’applique encore avec succès concernant le sexe gay.
J.T. |