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Point de départ intéressant pour ce film de Tony DiMarco et Adam Killian. Alors commençons par découvrir Josh West. Lui, c’est le voyeur à grosse queue qui observe dans un centre de détention un peu spécial dont les habitants qui sont obligés de se voir les uns, les autres en train de se branler ou de baiser et tout cela sur un circuit télé fermé. Josh, c’est à la fois le mateur et le démiurge. En effet, au fil des scènes, Josh West montre ses talents de voyeur, mais il apparaît aussi comme un maître marionnettiste qui crée les couples, leur donne des ordres, et diffuse aux autres «habitants» les images. Ce qui est réussi notamment (mais pas seulement), c’est bien l’ambiance de confinement solitaire, de tension et de diète du sexe marquée par le film. Le film est un peu à l’image du décor d’ouverture : une multitude d’écrans télé qui montrent chacun un scène de cul entre mecs différente. Cela donne des échanges virils entre un mec en costard (impeccable Adam Ramzi) et son compagnon d’infortune auquel il ne faut pas en promettre. Cela donne des choses un peu plus curieuses avec par exemple Luke Milan enveloppé dans de la cellophane blanche ou celle avec Jesse Santana avec de la cellophane rouge. Jesse de rouge paré et la tête rasée est à son meilleur. Les scènes qui sont, ici, proposées par Tony DiMarco et Adam Killian, sont toujours un peu particulières avec une petite pointe d’étrangeté, qui permet d’exciter et de surprendre, de susciter des fantasmes… Par exemple, cette scène où Joe Parker, détenu solitaire qui a besoin d’un bon bain et d’un rasage de frais… et qui va lui rendre ce service… eh bien Adam Ramzi, l’homme au costard. En fait, le plus grand plaisir de Josh est de voir comment les mecs manifestement enfermés depuis longtemps souffrent tant de cette séquestration qu’ils en deviennent des bêtes, dont le seul exutoire est le sexe. Et cela tombe bien car c’est cela meme que le viril Josh entend mater et nous faire mater. Contrôle, privation d’oxygène, humiliation sont quelques unes des péripéties que connaissent les mecs de "Hole 2" et qui pimentent tant la vie de Jsoh West. Un mot sur cet acteur, très bien choisi et qui clot dans une scène de solo poilu ce film. Pour ceux qui veulent connaître l’étendue de son talent de baiseur, on recommande de voir la plupart des films qu’il a tournés pour Raging Stallion. Citons notamment : "Dominus", "Hunter hunted", "Contact", "Hole 1", "red light" , "Jock Itch", "Stripped volume 1 : Make it rain" et surtout "Centurion Muscle VI. Monument". |
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