Le fist-fucking est-il bon pour la santé ?, demandait, il y a quelques temps, un article enlevé et informé publié sur Rue89Lyon… Il s’agit d’une "vraie question coup de poing et qui demande à être traitée en profondeur !", ironisait l’auteur de l’article. Bon, mais qu’est-ce que le fist-fucking dont nous rendons si souvent en suivant (de près) la production dévolue à cette pratique extrême et de plus en plus populaire. Bon, il s’agit d’un terme argotique qui signifie : baiser avec le poing. La sexologie utilise les termes d'érotisme brachiovaginal (fist du vagin) ou brachioproctique (fist du cul). Le fist-fucking ne sous-entend pas exclusivement la pénétration du poing fermé dans le vagin ou le rectum, mais plutôt une lente introduction de la main dont les doigts sont gardés tendus et groupés dans l'orifice préalablement abondamment lubrifié et distendu progressivement. Une fois l'introduction effectuée, le poing peut être fermé ou les doigts rester droits. C’est ce que nous montrent d’ailleurs les quatre scènes qui sont proposées dans cette nouvelle production de Club Inferno. Mais qui pratique le fist ? On peut en avoir une idée en regardant sur Wikipédia. "L'enquête ACSF (Analyse des comportements sexuels en France) sur la sexualité des Français retrouvait 6 % des gays ou bis interrogés ayant pratiqué le fist-fucking sur un partenaire lors de leur dernier rapport sexuel et 6 % ayant reçu un fist-fucking au cours de leur dernier rapport", expliquait l’encyclopédie en ligne. Alors, on peut imaginer que ces quatre scènes pourraient sans doute susciter quelques vocations. Et il faut dire qu’il y a de quoi trouver son inspiration dans les ébats en duos. On verra dans la première scène le travail minutieux auquel se livrent Trent Bloom et Alessio Romero, même minutie et même perversité dans le plan que nous propose ensuite Byron Saint et Josh Magnum. Travail du cul aussi de très haute volée avec Drew Sebastian et Max Cameron dans la troisième scène du film. Enfin, vous aurez un grand plaisir à voir Alessandro Del Toro mettre dans tous ses états le très sexy Holden Phillips, qui, malgré sa jeunesse, semble déjà avoir une sérieuse expérience du travail du cul. Grands moments, grands gémissements, grands plaisirs avec ces quatre scènes et surtout des fantasmes à n’en plus finir. |