Daddy connaît le meilleur, il connaît la règle et sait l’imposer avec un atout : une belle bite d’acier. Bon, voilà, vite expliqué, le pitch du film de Butch Dixon. Un film qui a donc besoin pour explorer cette idée de base : de jeunes mecs avec des gorges profondes et des culs gourmands et dociles. Mais cela ne suffit pas, il faut aussi des mastards qui jouent (sont) les daddies. Il s’agit de mecs costauds (voir gros pour l’un d’entre eux). Il y a donc les jeunes mecs virils (Tim, Logan Mc Cree, Yohann…) qui sont mis à la colle avec les daddies triomphants (Vinnie d’Angelo, Ben, Jean Franko…). Cela donne des duos très chauds tournés dans des ambiances assez variées : plan costard et chaise de musée pour Yohann et Jean Franko, hymne au tatouage sur simple matelas mousse entre Logan Mc Cree et Vinnie, etc. Plan cuir pour Jock et Oliver… On pourra apprécier aussi le duo de Tim et Ben… celui filmé du plafond avec les deux acteurs (dont le daddy bear a la bonne bouille) sur la grand lit blanc. Le couple fonctionne très bien et le partenaire du daddy (Tim, celui qui a la tête rasée) est un canon de première. La façon de filmer en plongée donne de suite une autre dimension au plan cul, à la scène de rimming et doigtage de Tim par Ben (manifestement pas manchot). On notera aussi la participation de Vinnie d’Angelo que l’on n’a pas vu depuis longtemps (du moins dans un film chroniqué par Wank) et celle de Jean Franko, l’acteur a plutôt bien vieilli et fait désormais un très beau daddy. Comme toujours avec Bitch Dixon, il se dégage du film un vrai parfum de virilité, celui du sexe sans concession comme on pourrait le vivre dans la vraie vie. Ce n’est pas la moindre des qualités du film. |