Bien, bien… Comment dire ? Il y a parfois dans le domaine du X des idées simples qu’on n’en finit pas d’explorer. Il en va ainsi de celle qui consiste à savoir ce qu’est le contrôle de soi. Il s’agit donc de comprendre de quelle façon on l’obtient et à quoi peut-il bien servir lorsqu’on l’applique, non pas à des situations conflictuelles dans la vie de tous les jours, mais plutôt à des situations de contrôle (du genre : 21 centimètres qui ne tiennent pas en place dans un caleçon ou une rosette qui ne sait plus à quel pieu se sacrifier). C’est une des idées de « Control », le film du label allemand Young Bastards. Avant d’entrer dans des nuances sur ce qu’est ou pas le contrôle, faisons d’abord un sort au label. Young Bastards (rien que le nom donne déjà une petite idée) est un tonitruant label de X gay européen (Made in Germany) qui s’est spécialisé dans le jeune queutard monté comme un âne et pas très à l’aise avec la capote. Cette période semble désormais révolue puisque les nouveaux titres de la firme sont désormais des films safe. C’est d’ailleurs ce qui leur vaut d’être aujourd’hui présenter dans Wank. Voilà pour le label. Pour le contrôle, l’équipe du film a choisi de situer l’histoire (une suite de plans cul dans une unité de lieu) dans un chantier. Ici, on ravale à l’ancienne un immeuble qui a manifestement connu des jours meilleurs. Entouré d’échafaudages, il est réceptacle de captivants plans cul entre de jeunes mecs qui ne boudent jamais leur plaisir… même lorsqu’ils ont les mains attachées aux barreaux de l’échafaude et qu’on leur demande d’ouvrir grand la bouche pour gober l’engin (y a du poil sur le
manche !) que leur pote de chantier leur présente. C’est dans cette délicate atmosphère que des jeunes manoeuvres en
survêtements copulent dans la quiétude d’un chantier qui, compte tenu, du sens des priorités des ouvriers est fait pour
durer. Ce qui est bien dans le film de Young bastards, c’est que chaque plan renvoie d’une façon au d’une autre à la notion de contrôle. Il s’agit du contrôle de soi (être fort coûte que coûte), du contrôle de ses sens (on fait durer le plaisir à la satisfaction de l’autre comme de la sienne…), du contrôle des émotions, du self contrôle, du contrôle de l’autre sur soi, de soi sur l’autre. Il n’est pas certain que le réalisateur ait, lors de la conception de son film, imaginé tous ces niveaux… Mais les mateurs que nous sommes arriveront bien à les repérer.
TM |
SYNOPSIS Pendant un trip contrôle de respiration Jordan bourre le petit Eric à fond et lui serre la gorge si fort que l’autre en devient tout bleu. Le macho a le petit salaud complètement à sa merci! Trois mecs actifs baisent un pote comme des oufs parce qu’il a perdu au jeu. Florian bande les yeux de son copain et lui fait la surprise d’une pompe à succion et d’un mec en cuir. En cinq scènes les YOUNG BASTARDS se vident les couilles comme jamais.
01
Sur le chantier Kirk s’emmerde grave et par sa négligence son chef se fait presque écraser par un seau plein de gravas. Pour la peine Kirk est menotté, forcé à pomper le gros chibre du chef et pour couronner le tout à lui tendre son petit cul bien ferme.
02
Dans un trip contrôle de respiration l’oxygène vient vite à manquer. Le petit Eric se fait baiser à fond par Jordan tout en se faisant étrangler à en devenir tout bleu. Jordan a le petit salaud complètement à sa merci et ça le fait bien triquer.
ATTENTION: Imitation de la scène fortement déconseillée!
03
À la muscu Jordan exaspère l’entraîneur qui trouve toujours quelque chose à redire. À la fin ce dernier est tellement énervé qu’il décide de changer radicalement d’exercices: des pompes d’un tout autre genre et un bourrage de cul en règle figurent désormais au programme...
04
Les yeux bandés, Eric a droit à une surprise très particulière: son pote Flo est revenu avec un mec tout en cuir et une pompe à succion pour jouer. Avec le cylindre Eric se pompe la queue jusqu’à ce qu’elle atteigne ses limites de grosseur, pour ensuite se faire menotter, sucer plusieurs bites et se faire baiser en beauté par Flo.
05
Le perdant se fait baiser – et puisque c’est pas de chance pour Marco au jeu de la bouteille celui-ci doit prêter son cul aux assauts de trois potes bien membrés. C’est ainsi qu’à tour de rôle Lucky, Jordan et le très chaud Kenny le bourrent de leurs grosses teubs. Et quand c’est au tour de Lucky et de son énorme braquemart Marco ne sait plus s’il doit en hurler de plaisir ou de douleur. |