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Et alors... qu’est ce-que cela donne ? Au premier abord, il n’y a pas de grand changement... Pour ceux qui connaissent bien le cinéma de Kristen Bjorn : on y trouve les mêmes techniques stylistiques : des plans cul dans des intérieurs cossus où les corps ont rang de joyaux pour décorer, animer un cadres ouvent exceptionnel. Cela donne de très bons moments, des découvertes émouvantes et torrides...
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Et alors… qu’est ce-que cela donne ? Au premier abord, il n’y a pas de grand changement… Pour ceux (et ils sont nombreux) qui connaissent bien le cinéma de Kristen Bjorn : on y trouve les mêmes techniques stylistiques. C’est-à-dire des plans cul dans des intérieurs particulièrement cossus où les corps ont rang de joyaux pour décorer, animer un cadre souvent exceptionnel. Autre constante, un goût pour les baises répétées. D’abord les acteurs (à deux, trois ou quatre) se rencontrent, ils baisent rapidement une première fois et jouissent assez vite. Puis, on reprend les mêmes (les deux, les trois ou les quatre) et ont remet cela… Cette fois, chacun prend son temps, suce, baise, tripote, s’offre dans des compositions qui semblent guidées par la statuaire antique et la géométrie… Autre constante encore : les plans culs dans les escaliers… c’est limite obsessionnel chez lui. Autre marotte : les partouzes. Il n’est pas possible de trouver
un film de Bjorn qui ne comprenne pas (généralement, c’est à chaque fin de DVD) une belle scène de partouze avec quatre à six acteurs en principe. C’est bien fait et toujours efficace. Alors où se situe la nouveauté ? Eh bien, dans le mélange des tempéraments des acteurs, cette fusion érotico-sexuelle du Sud et de l’Est… Cela donne de très bons moments,
des découvertes émouvantes et torrides… on en redemande.
TJ |
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